dimanche 18 septembre 2016

Asselineau : A écouter si vous vous sentez encore citoyen libre de braver la censure ! (Bruno Bertez)

Asselineau : A écouter si vous vous sentez encore citoyen libre de braver la censure ! (Bruno Bertez)

La classe politique dominante, pratique les petites phrases. Elle a retenu les leçons de Bernays et Goebbels, elle s’adresse aux émotions, au « ça » freudien plutôt qu’à l’intelligence. Les politiciens dominants font de vous des reptiliens. Quel que soit le contenu de leurs propos. Vous comprenez que ce que je vise ce ne sont pas les contenus, mais les formes.

Comme tels les politiciens dominants … dominent. Ils sont sûrs de leurs reprises médiatiques, lesquelles sont « boostées » par les déjeuners en ville des journalistes avec les services de presse et plus si affinités. Non, n’insistez pas, je ne donnerai pas de noms !

Asselineau s’adresse à notre tête et il sollicite notre patience, car il est long. démonstratif, documenté, référencé. C’est un bien et un mal car au delà des 12 000 à 13 000 adhérents fortement motivés, il a un lectorat ou une écoute restreints.

C’est dommage, mais c’est un peu de sa faute : la communication, cela existe et si on parle c’est, quand on brigue des suffrages, c’est pour être lu ou écouté. Ne me dites pas : et vous, vous n’êtes pas très facile ? Moi je ne brigue rien, je lance des bouteilles à la mer de l’intelligence.

Asselineau est comme on dit « hard », il fait dans le « hard, dans le fond et la forme. Mais attention il est lisible et compréhensible ce n’est pas incompatible.

Creuser profond est un atout et un handicap ; creuser profond amène des gens motivés et fidèles, mais rebute les tièdes, ceux qui ne sont, comme on dit dans les hôtels que « walk-in », de passage. En fait écouter Asselineau, c’est un investissement ; pas une consommation. Vous en faites bien entendu après, le profit qui vous convient n’est-ce pas.

Ne faites pas de contresens sur ce préambule je vous en prie.

Je ne suis pas du bord d’Asselineau, je n’ai pas le sens du soi-disant intérêt général ou public, ou républicain. Non. Je suis de ceux qui considèrent que l’intérêt général n’est détenu par personne, il résulte de la confrontation des intérêts individuels privés et donc je ne suis ni nationaliste ni souverainiste. Ou plutôt je suis souverainiste radical, c’est à dire pour la souveraineté des citoyens tels qu’ils sont en leur unicité et individualité, pas la souveraineté d’une abstraction trompeuse et récupérée.

Si vous rentrez dans l’entretien vous verrez, c’est passionnant.

Source : Leblogalupus.com

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