mardi 13 janvier 2015

Charlie Hebdo : Ces Infos Qui Prouvent Que François Hollande Et Sa Majorité Sont Irréprochables!

Brutus est irréprochable" disait Marc antoine, sur le forum romain devant le cadavre encore chaud de Jules César.



La surveillance des frères Kouachi s’était arrêtée il y a six mois


Aucun des trois n’était plus sous surveillance des services français au moment des attentats : ni les deux tueurs de "Charlie Hebdo", Saïd et Chérif Kouachi, ni leur complice de la porte de Vincennes, Amedy Coulibaly n’étaient plus sous écoutes ou l’objet de surveillances lorsque tous trois ont décidé d’entamer leurs actes de terreur cette semaine à Paris.



Amedy Coulibaly aurait dû rester en prison jusqu’en 2018


Amedy  Coulibaly a été libéré de prison alors qu’il devait purger une peine de 5 ans ferme, jusqu’en 2018

Et oui 2018 !

En prison, il n’aurait pu commettre ces attentats avec 5 morts et pourtant c’était un récidiviste, condamné à 6 reprises…

Détenu depuis 2010, Amedy  Coudibaly a été condamné à 5 de prison en 2013, puis libéré récemment au titre des remises de peine.

Mais pire encore la Ministre de la Justice, Christiane Taubira nous ment effrontément, elle n’assume même pas.

Me Georges Sauveur, avocat connaît très bien Amedy Coulibaly, car il l’a défendu à la fin de 2013, lors du procès concernant la préparation de la tentative d’évasion d’un djihadiste algérien condamné à la réclusion à perpétuité.


Valls et Cazeneuve avaient allégé la protection policière de Charlie Hebdo en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda.


Mai 2013 : Stéphane Charbonnier alias Charb – directeur de publication de Charlie Hebdo et citoyen sous protection policière depuis le mystérieux incendie de novembre 2011 – avait fait l’objet de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda-au-Yémen et relayées par une pseudo-revue islamiste dénommée Inspire.

Automne 2014 : le ministère de l’Intérieur – qui chapeaute le Service de la protection (en charge des personnalités) – a mis fin à la présence permanente de deux policiers devant l’entrée du siège de Charlie Hebdo, situé – depuis le 1er juillet – au numéro 10 de la rue Nicolas Appert. 

On avait supprimé une protection statique devant Charlie Hebdo qui aurait peut-être pu éviter le drame.

Information confirmée ensuite par Laurent Léger, journaliste d'investigation de Charlie Hebdo et rescapé de l'attaque. La responsabilité du ministre de l'Intérieur est, encore une fois, gravement mise en cause.

La phrase malheureuse de François Hollande quand les prises d'otages faisaient rage

Hollande appelle à "refuser les surenchères, les stigmatisations, les caricatures"Refuser les caricatures, il fallait oser le dire. Hollande l’a fait.

Refuser les caricatures ? C'est dur pour Charlie Hebdo!

À moins que ce soit un lapsus... À force de s'exprimer à tous propos et hors de propos pour faire remonter les sondages, il finit par dire n'importe quoi.


Mais tous va bien cher citoyens, CAR ILS SONT IRRÉPROCHABLES!

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