jeudi 20 février 2014

Les Chiffres Du Budget 2013 Du 31 Mars Vont Définitivement Enterrer François Hollande


La France négocie avec Bruxelles un nouveau report de l' objectif des 3%.

Réduire le déficit de la France (et donc son PIB) provoquerait inmanquablement des troubles qui pourraient très rapidement dégénérer.
Les Français ne resteraient pas passifs face à une politique qui verrait le PIB dévisser de 10% ou 15%...

On attend désormais la publication du déficit budgétaire qui devrait se situer entre 4% et 5%


Normal 1er Sa Très Grâcieuse Normalité


Normal 1er fait que dépeupler le PS pendant onze années, ruiner la Corrèze et répandre sa semence dans tout l'hexagone!... Voila de belles performances! Il a réuni les plus beaux menteurs de la planète Gauche caviar et ils s'amusent à jouer les chevaliers blancs en rejetant leurs échecs sur le dos de Nicolas Sarkozy... Ils sont désolés que la croissance ne soit pas au rendez vous car le programme de Sa Nullité ne peut s'appliquer QUE si la croissance reprend... 

On peut très bien imaginer le prochain programme du PS en 2017... laissez nous encore cinq ans et vous verrez que nous allons nous en sortir ...

L'Échec!


La France est confrontée à de graves problèmes: faible croissance, hausse du déficit budgétaire, taux de chômage record. Le ministre français de l'Industrie a proposé comme un moyen de sortir, une dépréciation de l'euro. 

Ou comment faire payer les citoyens avec des coupes dans les salaires et l'épargne.


François Hollande a récemment annoncé via son pote Migaud que le gouvernement a manqué la cible de 4,1 pour cent de déficit pour 2013 (publication du déficit du premier exercice budgétaire socialiste depuis 2001, le 31 mars 2014).


Hollande a bien tenté, mais sans succès jusqu'à présent, de combler les trous béants des finances publiques avec des impôts plus élevés tout en prétendant lutter contre la misère économique. Au lieu de cela, il semble que les acteurs de l'économie se soient étranglés de colère...

L'ambiance en France est en berne, de plus en plus de manifestations massives contre les taxes en tout genre et la politique familiale destructrice voient le jour un petit peu partout dans l' héxagone chauffé à blanc.

Les Français auraient dû prêter plus d’attention à toutes les mises en garde acerbes proférées à l'époque par les poids lourds du Parti socialiste à propos de l'actuel président de la République : elles se sont pour la plupart vérifiées.

Sa tétanie face à Merkel et Draghi, son incapacité à réformer le secteur public par couardise clientéliste et sa fragilité politique croissante empêchent François Hollande d’agir sur les seuls leviers qui permettraient de relancer l’activité : la baisse de l’euro, celle du coût du travail et celle des impôts. Cette triple action est nécessaire et devrait être concomitante. En effet, s’il n’est pas mis un terme à la surévaluation de l’euro, les efforts entrepris par ailleurs seront vains et libèreront des forces déflationnistes.

On ne sait plus comment le faire comprendre à une classe dirigeante qui a remis son destin entre les mains de l’euro depuis plus de quinze ans, quand les parités entre monnaies européennes furent scellées avant même la mise en circulation de la monnaie unique. Depuis, la croissance se traîne en Europe, notamment dans les pays dits du Sud.

En tout cas, il suffit de voir comment le «pouvoir» souille sa culotte à l’idée de mettre fin aux avantages des intermittents du spectacle ou de toucher au monopole des taxis parisiens pour avoir un aperçu de son incapacité radicale à entamer des réformes plus lourdes, comme celles des collectivités locales, du secteur de la santé ou des entreprises publiques.

Hollande ne fera que brasser du vent. 

Nul ne peut imaginer en effet une seule seconde que la Commission européenne puisse être dupe de ce manège. Ce qui sauve encore temporairement Sa Normalité, c’est que les eurocrates ont intérêt à faire semblant de le croire. 


Le premier qui engagera le bras de fer dont surgira l’effondrement de l’euro risque d’en porter la responsabilité aux yeux d’une opinion européenne qui n’est pourtant qu’un tigre de papier, un mythe plus qu’une réalité.



Aucun commentaire: