mardi 28 mai 2013

Allons-nous attendre d’être réduits à un esclavage abject dans un monde dévasté pour songer à réagir ?


Il n’est plus que jamais nécessaire de dénoncer le pouvoir de l’oligarchie mondiale subversive constituée de psychopathes complètement fous qui, pour assouvir leur soif de pouvoir et leur cupidité insatiable semblable au mythique tonneau des Danaïdes, (pour rappel, les Danaïdes étaient des femmes condamnées par les dieux à remplir un tonneau qui ne se remplissait jamais), sont prêts à tout détruire.

Il est urgent de comprendre que le mythe de l’économie de marché est vraiment cela : un mythe. C’est à dire une illusion. Allons-nous attendre d’être réduits à un esclavage abject dans un monde dévasté pour songer à réagir ?

Alors que faire ? Il y a bien des initiatives qui existent pour agir dans le sens du changement de paradigme de société. Mais elles restent encore insuffisantes. Il y a deux choses que nous pourrions faire.

La première, informer sans relâche de la nature intrinsèquement perverse de ce système d’économie de marché et son côté totalement erroné. Il est basé sur des postulats complètement faux et mêmes dangereux avec ce mythe de la croissance illimitée dans un monde aux ressources limitées. Malheureusement, beaucoup de nos concitoyens sont encore victimes de l’illusion du système et restent accros au consumérisme effréné. Témoin, il n’y a pas longtemps, l’annonce du Virgin Mégastore d’une réduction de 50% sur la majeure partie des produits vendus par l’enseigne. Ca a été une véritable ruée de centaines de personnes pour prendre absolument n’importe quoi uniquement parce que c’était 50% moins cher. Les gens se sont comportés comme des animaux affamés prêts à se battre pour se procurer ce qu’ils voulaient. Et on remarquera que, quand ce sont les soldes, on a tendance à retrouver le même comportement. Donc, clairement, nous sommes devant un réflexe conditionné dont il faut se déconditionner, et c’est le premier travail à faire : se déconditionner du système d consumérisme outrancier.

La deuxième chose, constituer des réseaux à l’échelle nationale, et même internationale, pour fédérer toutes les tentatives et initiatives locales ou régionales qui émergent en vue de changer le paradigme dominant. Tout le monde peut adhérer à ces réseaux. pas besoin d’être un grand universitaire ou une figure reconnue dans un domaine ou un autre, même si c’est très utile, personne ne doit se sentir exclu.

Tout doit être revu, débattu et remis en cause, l’économie et la finance, le commerce, l’enseignement scolaire et universitaire, la recherche scientifique, la politique et donc le système législatif aussi bien que le mode de gouvernance, le médical, l’écologie et l’agriculture, le culturel, la communication, etc. Donc, chacun peut trouver sa place.

Comprenons bien que nous n’avons plus le choix. C’est une question de vie ou de mort. Nous en sommes là.

Ou nous changeons de paradigme de société, de modèle de civilisation en mettant l’être humain et son épanouissement sur tous les plans, du spirituel au matériel, au centre des préoccupations, ou nous nous condamnons à être des esclaves abjects dans un monde dévasté par la pollution, empoisonné par les rejets d’une industrie sans foi ni loi, d’une oligarchie de multinationales dont les dirigeants sont complètement fous et qui, à terme, détruiront toute vie sur Terre. Rappelons que ce processus est déjà bien avancé…et, regardez ce PPS pour comprendre le conditionnement et la  manipulation de l’opinion publique.

D.POSITAIRE

 COMPRENDRE ET REAGIR

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