samedi 26 janvier 2013

Pourquoi Jean-Luc Mélenchon fait honte au pouvoir PS


Jean-Luc Mélenchon : «Je vis donc je lutte»





Quelqu'un qui lutte est forcément mal vu par ceux qui se couchent. Il les renvoie à l' insignifiance dont ils se satisfont avec fatalisme : ces mystères nous dépassent feignons d'en être les organisateurs et comme l'idiot regarde le doigt qui lui montre la lune, alors.... 

Mais , pires que tout, sont les inconséquents qui acceptent de Hollande ce qu'ils reprochaient à Sarkozy.
En attendant et ne leur en déplaise, ce sont les analyses des gens comme Mélenchon qui s'avèrent exactes. 
Malheureusement devrait-on dire car on préférerait que les oracles se trompent qui annoncent le malheur.

En l'occurrence, les Socialistes eux-mêmes se rendent compte de la stérilité de leurs timides tentatives de s'opposer au système qui déroule sa logique. Ils nous annoncent une " anno horibilis" qui va faire exploser les déficits et le chômage. Ils s'y résignent même s'ils s'agitent beaucoup.

Un continent est en train de se paupériser et la seule solution pour susciter la relance de l'économie se trouve dans la mise en concurrence des forces du travail des différents états qui le composent.

Le grand marché qui devait apporter l'opulence est devenu le grand souk où se négocie la misère.
Le moins-disant social - quels que soient les artifices pour en cacher la réalité chez ceux qui ne seraient pas réceptifs à l'idée - est en marche. 

L'amélioration de la productivité est le faux nez de la régression sociale. 
Pour d'illusoires et souvent très temporaires victoires.
Alors on peut toujours railler Mélenchon, ridiculiser ses propositions, c'est d'autant plus facile que c'est dans l'air du temps et peut-être bien se trompe-t-il même aussi mais au moins il se trompe debout.


Ainsi donc

Selon MELENCHON, HOLLANDE, qualifié il y a quelques mois de capitaine de pédalo, aura toujours vocation à pédaler. Pour le moment, on a surtout l'impression qu'en bon équilibriste il fait surtout du surplace car on attend toujours les véritables réformes qui auraient dû transformer les institutions et améliorer la démocratie et la justice dans ce pays. 

A mon avis, sa campagne électorale a été une vaste supercherie car pour le moment, on a comme l'impression qu'il distribue surtout les fromages de la République à ses obligés, le dernier pourvu étant l'inénarrable Jack LANG.

1 commentaire:

Unknown a dit…

Complètement d’acore avec vous ce gouvernement me désole et me fait mal je n' est plus de repaire a l'aide Sarko revient