dimanche 16 septembre 2012

Entre Valérie Trierweiler et les magazines people c'est la guerre


Valérie Trierweiler hypocrite ?

 Y’a un truc qui est parti pour durer, on dirait : c’est la guerre entre les mags people et… Valérie Trierweiler. Très en pétard, Laurence Pieau, la rédac chef de “ Closer ”, met ce samedi les pieds dans le plat et livre une info pas piquée des hanetons. “ Le 7 septembre, raconte-t-elle, est arrivée à la rédaction de “ Closer ” — comme dans d’autres rédactions de magazines people — une assignation de Valérie Trierweiler nous réclamant 24 000 euros pour avoir publié des photos d’elle en maillot, réalisées cet été eu Fort de Brégançon. Motif : atteinte à la vie privée et au droit à l’image. Alors, là, on s’étonne… Et on reste scotchés par l’hypocrisie de la Première dame. Du jamais vu dans l’histoire de “ Closer ” où, pourtant, on en connaît un rayon sur le sujet ”. Uh, uh ! Qu’est-ce encore que cette affaire-là ?


La première dame en repérage à Brégançon


Qui finira la plus détestée ?
“ Pour tout vous dire, explique Pieau, on n’attendait pas spécialement ces photos de Valérie Trierweiler… Quelques jours avant de s’installer au fort de Brégançon, la Première dame avait en effet débarqué dans la résidence présidentielle pour y effectuer des repérages en compagnie de Stéphane Ruet, son photographe attitré devenu l’un de ses conseillers en image. L’objectif était clair : repérer les endroits où les chasseurs d’images pourraient se poster pour l’immortaliser… Dès son arrivée, d’ailleurs, Valérie Trierweiler a fait installer un brise-vue derrière lequel elle pourrait bronzer tranquille… Et puis, à la surprise générale, le 3 août, dès le lendemain de l’arrivée du couple présidentiel, les photos ont été proposées aux rédactions, pile-poil pour les bouclages ”. Vous avez dit bizarre ? 


Les photographes autorisés à travailler en toute sérénité


“ La présence de photographes était connue de tous, poursuit “ Closer ” : cet été, les reporters postés face au fort de Brégançon avaient même été particulièrement bien traités. Alors que les années précédentes, les bateaux des paparazzi se contentaient de passer au large, cette année, les photographes avaient pu ancrer leurs embarcations. Mieux : les reporters “ autorisés ” dépêchés par les agences photo parisiennes — certaines entretenant d’ailleurs d’excellentes relations avec Stéphane Ruet — avaient été préalablement contrôlés par les services de sécurité de la présidence. Le message était clair : les photographes pouvaient travailler en paix. Par un heureux hasard, donc, le 3 août, pile-poil au bon moment, Valérie Trierweiler a fait sa sortie sur la plage ! Comme Carla avant elle l’a fait chaque été depuis 2009. Une sortie sur la plage devenue désormais, habillée ou en maillot, le passage obligé de toutes les premières dames. Un passage obligé que Valérie Trierweiler a, à l’évidence, accepté… ” Heu, apparemment, oui…

“ Comment ose-t-elle ? ”


“ Alors à “ Closer ”, tape du poing Laurence Pieau, on se demande comment “ la première journaliste de France ” — comme elle a envisagé un temps de se faire appeler — ose nous attaquer et nous réclamer 24 000 euros de dommages et intérêts dont elle déclare au préalable qu’elle les reversera à… Reporters sans frontières ! Et on s’étonne de l’ambiguité de la journaliste qui avait déjà assigné “ Closer ” en 2007 pour avoir publié des photos d’elle et de François Hollande sur la plage (tiens, tiens…) — les premières photos du couple — et dont un livre (“ Entre deux feux ”, Grasset) révèle aujourd’hui qu’elle en était, en réalité, ravie. Des images qui, avait-elle confié à une amie, montraient “ enfin la vérité ”. Hypocrisie, quand tu nous tiens… ” Et vlan, tiens, prends ça !

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