Les médias menteurs, achetés par les industriels et les banquiers, comme d'habitude, préparent les guerres atroces qu'ils feront bientôt faire aux peuples bernés.
Rappel d'un épisode récent, littéralement HONTEUX, en provenance de l'AFP, c'est-à-dire de la source mère de tous les perroquets menteurs du pays :
(C'est un rappel, mais un rappel utile pour comprendre —et discréditer— l'actuelle et intense propagande va-t-en-guerre avec laquelle les marchands de canons et les banquiers nous préparent tous les jours à cautionner la guerre à la Syrie puis à l'Iran.)

J'avais parlé de Chavez (et du laboratoire démocratique épatant de l'Amérique latine) dans un entretien avec Sylvain Durain, et il aurait été utile d'y souligner ce lamentable média-mensonge de l'AFP sur Chavez, à titre d'illustration pédagogique de la malhonnêteté crasse dont sont capables —sans vergogne— les prétendus »journalistes professionnels« (ne pas oublier les guillemets à l'envers — Alt 175 et Alt 174—pour signaler les expressions menteuses de la novlangue de Big Brother, celle qui met à l'envers tous les mots importants qui nous permettraient de résister).
Michel Collon fait d'ailleurs en ce moment de bonnes conférences sur les média-mensonges créés et colportés pour emporter les opinions publiques vers la guerre.
Par exemple, celle-ci, à Montréal en juillet 2012 : "Les cinq principes de la propagande de guerre" :
1) occulter les intérêts économiques
2) occulter l'histoire
3) diaboliser
4) inverser l'agresseur et la victime
5) monopoliser la parole, empêcher le débat, la confrontation. 


"Les guerres ne commencent pas par des bombes mais par des média-mensonges (...)" :
La prise de possession des médias (et donc des élus) par les plus riches devrait être incriminée comme un crime contre l'humanité.
On dirait que (presque) tous les bons journalistes sont au chômage ou précaires, et que les autres sont (presque) tous des collaborateurs de notre infâme ploutocratie.
=> Couper sa radio, jeter sa télé, chercher soi-même sur Internet les informations utiles, en lisant particulièrement les réfutations de ce qu'on croit (pour l'instant) vrai => tout recouper.
Ne plus compter sur nos »représentants« pour régler nos problèmes, car nos »représentants« SONT —manifestement— notre problème, au service des cartels et des banques à qui ils doivent leur pouvoir, et PAS au service de l'intérêt général.