jeudi 9 février 2012

EUROSTAT Une personne sur trois en Grece vit dans la pauvreté, seuls certains pays de l'est sont plus pauvres.

                      à -30% sur leurs pensions, les séniors grecs veulent "niquer la police" 


Les dimensions économiques de la pauvreté en grèce sont dramatiques, avec environ 1/3 des Grecs vivant dans la pauvreté selon une enquête réalisée par Eurostat. 


Selon l'enquête de l'Eurostat, 27,7% de la population de la Grèce soit plus de 3.031 millions de personnes vivent dans pauvreté et l'exclusion sociale. C'est la plus haute pauvreté sociale enregistrée dans la zone euro, seule l'Europe de l'Est a des chiffres pire que ça. 


En Grèce, se situent sous le seuil de pauvreté, 28,7% des enfants âgés de 17 ans et moins, 27,7% de la population âgée de 18 à 64 ans et 26,7% des plus de 65 ans.
                    Certains attendent seulement la mort qui les soulagera...les libéraux sont pour l'euthanasie (état nazi)


Dans l'ensemble de l'UE 23,4% de la population soit 115 millions de citoyens européens sont confrontés à de graves problèmes financiers. Plus précisément, 27% ​​des enfants âgés de 17 ans, 23,3% de la population âgée de 18 à 64 ans et 19,8% des Européens âgés de plus de 65 ans sont en situation financière désastreuse.

Les taux de pauvreté les plus élevés enregistrés sont en Roumanie Bulgarie (41%), Lettonie (38%), en Lituanie (33%), Hongrie (30%), la Pologne (27,8%) et en Grèce (27,7%). Les taux de pauvreté les plus élevés chez les enfants de moins de 18 ans enregistrés en Roumanie (48,7%), la Bulgarie (44,6%), Lettonie (42%), la Hongrie (38,7%), en Lituanie (34,3%) la Pologne (30,8%), Espagne (29,8%), la Grande-Bretagne (29,7%), Italie (28,9%), la Grèce (28,7%) et le Portugal (28,7%).




"La pauvreté généralisée et la misère ne tombe pas du ciel en Grèce, mais en raison de l'incompétence des gouvernements Papandréou et Papademos."


Le nouvel accord de "prêt colonial" et le mémorandum qui l'accompagne sont encore plus difficiles à mettre en oeuvre. Cela mènera à la pauvreté généralisée et à encore plus de misère commente un député grec.


Le gouvernement grec et les trois parties impliquées (Troïka : UE BCE FMI) imposent au peuple grec des politiques agressives dignes des heures les plus dures de Margaret Thatcher en Angleterre.


"Aucune mesure politique de relance visant à désamorcer les tensions et soulager ceux qui souffrent le plus n'a été encore adopté" a déclaré le porte-parole de l'Alliance démocratique Dimitris Zafiriadis.

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