dimanche 11 décembre 2011

Grèce equilibre budgétaire impossible : Une récession de plus de 5,5% en 2011



Des signes clairs d'une récession de plus de 5,5% du PIB en 2011, ELSTAT a donné des chiffres qui pour le troisième trimestre de l'année, selon laquelle la récession a atteint 5% (passant à 5,2% du PIB selon les première estimation.) il ya quelques jours, l'effondrement des dépenses d'investissement et la consommation des ménages complètent le tableau dantesque.


Basé sur la disposition, non corrigées des variations saisonnières des données (les détails ne sont pas divulgués par le ELSTAT. Pour les six mois), la récession pour les trois quarts de l'année s'élève déja à 6,9% du PIB.


Compte tenu également de la dernière estimation de la variation trimestrielle de la dépression (8,3% du PIB pour le premier trimestre, 7,4% du PIB pour le deuxième trimestre et de 5% du PIB pour le troisième trimestre), l'objectif une récession de 5,5% du PIB signifie que pour le dernier trimestre de l'année, la récession ne devrait pas excéder 1,3% du PIB. Ceci est extrêmement difficile, étant donné le chômage endémique, une forte baisse de la consommation privée et l'énorme baisse de l'investissement se reflète dans les statistiques.


Plus précisément, au niveau macro, ELSTAT enregistre un record pour le troisième trimestre, soit une baisse de la demande finale dans l'économie de 5,1% par rapport à la même période en 2010. En termes de chiffres absolus, la consommation finale du troisième trimestre de l'année a diminué de 2,3 milliards de dollars pour se situer à  42,3 milliards d'euros contre  44,6 milliards à la même période en 2009. Le plus important est que la réduction de la consommation a principalement la baisse de la consommation privée des ménages et moins la réduction des dépenses de consommation et la réduction de  la consommation publique.


Plus précisément, la réduction de la consommation privée, pour les dépenses des ménages a enregistré au troisième trimestre de cette année à 5,5%, par rapport à la même période l'année dernière. A prix constants, les dépenses de consommation des ménages grecs pour le troisième trimestre de 2011 a diminué de 1850 millions à 33750 million d'euros contre € 35,7 milliards à la même période en 2010.


Dépenses des administrations publiques (ministères, fonds de pension, les hôpitaux publics, les autorités locales et des entités publiques), ont diminué de seulement 3,9% au troisième trimestre de 2011, comparativement au même trimestre de 2010. A prix constants, les dépenses des administrations publiques a baissé de seulement 214 millions, atteignant le troisième trimestre à 8,6 milliards d'euros de € 8,91 milliards, ce qui était au même trimestre de 2010.


Le seul changement positif dans le PIB est le compte courant, surtout le morceau sur les exportations.


Plus précisément, selon les données ELSTAT., Les exportations grecques de biens et services (qui incluent les recettes du tourisme) a augmenté de 3,2% sur la même période en 2010. A prix constants, la valeur des exportations grecques ont augmenté de près de 340 millions d'euros à 13,8 milliards contre 13,4 milliards le même période en 2010.


Au lieu de cela, la forte baisse de la demande et, par conséquent, l'investissement est resté négatif du taux de croissance des importations de biens et services, qui a enregistré une baisse de 4,3% sur la même période en 2010.


A prix constants, la valeur des importations grecques ont baissé d'environ € 638 000 000 à € 14,27 milliards contre 14,9 milliards d'euros en la même période en 2011. Si le ralentissement économique global bien plus objectif fixé, non seulement pour le gouvernement grec, mais pour la troïka, fondée sur l'examen du mémorandum, 2012 débutera avec un élan extrêmement négative, ce qui menacerait la cible de baisse de 2,8% du PIB pour 2012.


Mesures dans le nouveau programme


Le chemin de la croissance seront prises au sérieux et les négociations débuteront la semaine prochaine pour compiler le nouveau programme qui va accompagner le nouveau contrat de prêt de EUR 130 milliards. Une variation du taux de croissance supérieur à 0,5% du PIB signifierait inversion des mesures convenues, au moins pour 2012.


Le défi à ce stade sera de savoir si le plan, établi au plus tard au début de l'année prochaine, il y aura des mesures à mettre en œuvre en 2013 et 2014, comme le souligne M. Papademos par Bruxelles, ou si il a raison le ministre des Finances, Venizelos, Ev, qui à son tour a déclaré que des mesures seront analysées en détail dans le milieu de l'année prochaine.


Une grande variation dans le taux de croissance, cependant, se traduira par une souscription initiale de mesures qui seront clarifiées dans les mois à venir. Ce dernier dépendra de la deuxième grande question qui va commencer l'exécution du e prochains jours, le PSI +, pour lequel les négociations commencent également lundi à Athènes, avec des membres de l'IIF.


L'objectif du ministère des Finances est la réduction de la dette privée de 50% demandé par les prêteurs privés en Grèce (banques commerciales, fonds de pension et compagnies d'assurance) font les meilleures conditions possibles.


Plus précisément, si le taux d'intérêt qui auront les nouvelles obligations vont échanger des individus, d'être proche de ce que nous allons proposer un contrat de nouvelle dette, soit environ 4%, 8% et pas actuellement à la recherche des banques commerciales, à travers leurs représentants. Par conséquent, les négociations qui commencent la semaine prochaine à Athènes, sera crucial pour la poursuite du financement du pays à partir de 2012.


Investissements


Dans le domaine de l'investissement, la crise du logement, des retards dans l'exécution des programmes du CRSN et de l'illiquidité des banques ont un impact plus visible sur l'économie.


Le troisième trimestre de l'année, ELSTAT. enregistrer une réduction des investissements de 17,5% par rapport à la même période en 2010. A prix constants, le niveau d'investissement ont baissé d'environ € 1,4 milliards à 6,3 milliards d'euros de 7,7 milliards à la même période en 2010.

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